Le site qui présente et fait revivre notre patrimoine automobile, principalement avant guerre et de marques françaises aujourd'hui disparues! (Lorraine Dietrich, Voisin, Salmson, Georges Irat, Delage, etc…). Venez redécouvrir ces autos exclusives, sportives et ces cyclecars…! ;)
c’est au Salon Champenois du Véhicule de Collaction à Reims (2021) qu’était exposée cette Facellia de 1963.
L’accueil par son propriétaire a été particulièrement amical et chaleureux et c’est un vrai plaisir de présenter sa belle « Facel »…
La Facellia était la « petite » Facel Vega, elle a été fabriquée entre 1960 et 1963 à 1050 exemplaires (dont 381 « coupé 4 places » comme celui-ci)
Contrairement à ses grandes soeurs (qui sont équipées de V8 américains), elle est 100% française, y compris le moteur à double ACT, 4 cylindres de 1646 cc qui provient, comme les boites de vitesses, de l’usine Pont A Mousson.
La F2B en est l’ultime évolution avec un moteur fiabilisé (les premiers moteurs, pas suffisamment mis au point, cassaient comme du verre!). Elle est équipée d’origine (je crois) des phares Megalux mais garde les sublimes feux « couteaux » à l’arrière. Elle sera vite remplacée par la Facel III à moteur/boite Volvo.
Très bien dessinée (le coup de crayon de jean Daninos est génial), elle se laisse admirer dans tous ses détails… Ah!, ce pare-chocs en alu qui épouse le dessin des ailes! 🙂
(j’imagine que les anti-brouillard et le porte-bagage ont été ajoutés pour plus de confort lors des départs en vacances mais je trouve qu’elle s’en passerait bien…)
Elle a aussi existé en cabriolet et en coupé 2+2 mais je suis fan de ce coupé 4 places qui aurait une belle place dans ma « collection idéale », en catégorie « après-guerre »! 🙂
Cette belle Avions Voisin type C1 de 1920 était exposée au Salon de Reims (2021).
Elle rend hommage à la C1 Torpédo Sport d’Ernest Artault qui a gagné de meeting de Boulogne Sur Mer en 1920.
Il n’est pas surprenant de retrouver l’ingénieur Ernest Artault en pilote sur une Voisin C1 de course puisque ce dernier les connait bien!
(photo issue de Le Miroir des Sports, trouvée sur Gallica, BNF)
En effet, après avoir travaillé sur la Panhard-et-Levassor 20 Cv Sans soupape (SS) avec Louis Dufresne, il crée le prototype « ADC » (Artault, Dufresne et Cabaillot, qui les a rejoint). Il est financé par les frères Morane et devient le prototype M1. Quand le pilote Léon Morane meurt, abattu juste avant la fin de la Première Guerre, le projet est proposé à André Citroën qui souhaite aussi se reconvertir dans l’automobile. Ce dernier préfère proposer une voiture moins chère et de grande série (ce sera la Type A, conçue par Jules Salomon) mais il leur présente Gabriel Voisin qui cherche, lui aussi, de nouveaux débouchés dans l’automobile…
L’ex-constructeur d’avions en modifie le châssis, met des frein à l’avant (en option pour commencer) et présente, dès 1919, la C1 (toutes les Voisin son dénommées par un Type « C », comme « Char » ou Charles, le prénom de son frère, suivi d’un numéro dans l’ordre de leur apparition).
La C1 est une grosse voiture de luxe de 18 Cv, moteur 4 cylindres en ligne sur 5 paliers, sans soupape et d’une cylindrée de 3969 cc.
Il développe environ 75 Cv et l’auto peut presque atteindre 120 km/h en laissant une jolie fumée derrière elle…
Le succès est réel et, pour le conforter, des C1 participent à de nombreuses compétitions et en reportent, comme la course de côte du Gaillon en 1922 ou le meeting de Boulogne sur Mer en 1920 auquel cette reconstruction rend hommage!
Artault et ses acolytes partiront chez Peugeot en 1921 et Gabriel Voisin le vivra comme un trahison puisqu’ils emportent avec eux les études de la C3 (qui succède à la C1).
Et voici celle qui était exposée au Salon de Reims:
J’adore particulièrement l’arrière avec son « cul pointu » rajouté… On sent l’évolution des lignes et de ce que seront les voitures de sport dans les années ’20. Voisin avait-il une longueur d’avance?
Il n’y a pas à dire, la voiture est imposante!
Et voici la salle des machines avec son 18 Cv, 4 cylindres sans soupapes (licence Knight) de 4 Litres de cylindrée.
et une petite vidéo pour en profiter sous toutes les coutures 😉
L’assurance auto permet de prévoir et de couvrir les risques liés à l’usage de votre véhicule. Il n’est toutefois pas toujours facile de faire le choix d’une assurance auto. Il est donc important de comparer plusieurs offres pour faire le bon choix. Pour cela, le comparateur d’assurances auto est l’outil idéal, notamment si vous possédez une voiture de collection. Mais comment peut-on faire des économies sur son assurance ?
L’assurance auto, une obligation ?
Tout propriétaire de véhicule terrestre à moteur (voiture, camion, bus…) a obligation de souscrire une assurance auto. Cette dernière devra couvrir l’ensemble des dommages corporels et/ou matériels causés à un tiers par le conducteur ou un passager du véhicule. Elle peut également couvrir un incendie, un vol, et même une catastrophe naturelle. De fait, même si votre voiture de collection roule peu, vous devrez l’assurer.
Le défaut d’assurance de votre véhicule est un délit majeur qui vous condamne à payer une amende pouvant avoisiner les 3750 euros. Dans certains cas, cette dernière est suivie d’une annulation ou suspension du permis de conduire, d’une confiscation ou immobilisation du véhicule, de travaux d’intérêt général, etc.
L’assurance auto permet donc de prévoir de nombreux risques relatifs à l’utilisation de votre véhicule. Une voiture de collection nécessite par exemple beaucoup d’attention pour éviter tout désagrément, car les réparations peuvent très vite coûter cher. Il vous faut donc trouver une assurance sur-mesure. Il est ainsi recommandé d’avoir recours à un comparateur d’assurances. Pour choisir le bon contrat, il est d’ailleurs possible d’économiser sur son assurance auto en comparant les différents types d’assurances.
Le comparateur d’assurances pour trouver la meilleure offre
Un comparateur d’assurances a pour mission première d’aider dans l’évaluation et la comparaison de différentes offres d’assurances auto. Il donne de fait accès à de nombreuses offres. C’est donc le moyen le plus rapide et le plus simple de vous renseigner tout en faisant une comparaison des offres présentes sur le marché. Vous avez alors la garantie de faire le meilleur choix en toute sérénité. Pour une voiture de collection, vous pouvez par exemple choisir de l’assurer au kilomètre, si elle roule vraiment peu. Le comparateur d’assurances vous trouvera ainsi quels assureurs pratiquent ce type d’offres.
Le nombre sans cesse croissant de compagnies d’assurances rend de plus en plus ardue la recherche de la bonne couverture. Pour rappel, un contrat est jugé « bon » quand il est abordable en plus de proposer une bonne couverture en cas de pépin. En utilisant un comparateur d’assurances, vous pouvez comparer rapidement les offres de milliers de compagnies d’assurance.
Pourquoi faire appel à un comparateur d’assurances ?
Un comparateur d’assurances est sans doute l’outil le plus efficace pour mettre simultanément en concurrence une pléiade de compagnies d’assurance. Je tiens cependant à notifier que les comparateurs offrent généralement un service rapide et gratuit ainsi qu’une accessibilité à tout moment : 24 h/24, 7 j/7. Faire appel à cet outil comporte ainsi de bien nombreux avantages.
Faire des économies
Le comparateur d’assurances auto met un point d’honneur à personnaliser les offres qu’il vous présente. Vous n’aurez qu’à transmettre votre requête par le biais d’un formulaire sur lequel vous fournirez vos renseignements. C’est sur la base de ces informations que le comparateur ira chercher les offres correspondant parfaitement à votre profil et à vos besoins.
Quelques minutes suffisent pour que vous compariez facilement toutes les offres et étudiiez les garanties proposées. Vous pouvez donc aisément trouver le meilleur service au meilleur prix. Avec un comparateur, vous pouvez économiser jusqu’à 40 % sur votre assurance.
Un gain considérable de temps
Avec un comparateur d’assurances auto, vous n’aurez plus à perdre de longues heures à la recherche de l’assurance qui vous convient le mieux ou même à aller chez un courtier. Quelques clics et, depuis votre maison, vous avez à disposition les meilleurs devis adaptés à votre situation.
En réalité, le comparateur d’assurances se charge de faire tout le travail de recherche à votre place. Vous n’aurez donc plus à vous déplacer auprès des assureurs ou encore à attendre que ces derniers vous fassent parvenir un devis. Il fait donc le lien entre les assureurs et les assurés en plus fournir des conseils pratiques en matière d’assurance.
Avoir un contrat sur-mesure
C’est sur la base des renseignements (personnels et ceux du véhicule à assurer) que vous avez fournis que le comparateur d’assurances auto s’appuie pour faire son choix. Il mettra un point d’honneur à vous offrir le contrat qui s’adaptera le mieux à :
vos besoins
votre type de véhicule
l’ancienneté du véhicule
vos années de conduite
votre région de résidence
Avec un comparateur d’assurances auto, c’est la certitude d’avoir des résultats sur-mesure et d’une très grande précision. Si vous possédez une voiture de collection, l’assurance peut parfois coûter très cher. Au lieu de payer plein pot, voyez si vous pouvez l’assurer en fonction de votre utilisation du véhicule. Pour cela, un comparateur d’assurances se révélera très utile pour trouver l’assurance la plus adaptée à vos besoins.
Le degré de couverture en cas de préjudice causé par votre véhicule varie d’une compagnie d’assurance à une autre. Pour trouver l’offre qui s’adapte le mieux à vos attentes et au meilleur prix, faites confiance à un comparateur d’assurances auto.
Cette Alfa Romeo 6C-1500 Cabriolet James Young (n°0111524) de 1928 participait au VRM (Vintage Revival Montlhéry) de 2019.
Il faut dire que la marque était à l’honneur cette année-là, au VRM.
Pour rappel, la 6C 1500 cc est sortie en 1926 et a été fabriquée jusqu’en 1929 où elle laissera la place à la 6C 1750 cc. (… qui donnera naissance à la 6C 1900 en 1933 puis la 6C 2300 apparaitra en 1934, etc…). Elle représente donc le début d’une très belle et grande histoire, tant commerciale que sportive pour Alfa Roméo!
C’est l’ingénieur maison, Vittorio Jano qui crée ce moteur à six cylindres en ligne de 1 500 cm3 (1487 cc), un arbre à cames en tête qui développe 54 ch à 4500 tr/min, ce qui est un très haut régime pour l’époque… La boîte est à 4 rapports. Avec un poids de de 960 kg, elle peut monter à 125 km!
La 6C 1500 remplace en fait les lourdes routières RL apparues en 1920.
Rapidement, Jano la fera évoluer avec une version à deux arbres à cames en tête, les 1500 Sport (60 cv) et Super Sport (76 cv avec un compresseur).
L’ALFA ROMEO 6C 1500 présentée ici date de 1928.
Il s’agit d’un cabriolet carrossé par l’anglais James Young. La marque était très appréciée en Grande-Bretagne ce qui explique que celle-ci y a été initialement vendue.
Voici la présentation du châssis 6C 1500 parue dans le magasine Omnia de 1926 (source: Gallica, BNF)
voici une incroyable Alfa Roméo RL TF de 1923 qui a participé au VRM (Vintage Revival Montlhéry) de 2019. Il faut rappeler que la marque était à l’honneur…
L’Anonima Lombarda Fabbrica Automobili (ALFA créée en reprenant l’usine italienne de Darracq en 1909) a été sauvée de la liquidation en étant reprise par Nicola Roméo en 1915.
C’est sous la direction de l’ingénieur Giuseppe Merosi qu’est créé le modèle sportif RL (Romeo Lungo?) à partir de 1922. Elle sera produite jusqu’en 1927.
Voici la présentation du nouveau modèle Alfa Roméo Type RL en 1923 dans le magasine Omnia.
(merci au site Gallica de la BNF)
De la version « Super Sport » est dérivée une version course qui permettra à des pilotes de briller, notamment sur la course Targa Florio dès 1923. Ce sera donc la RL-TF! Les fameux pilotes ne sont autres que Ugo Sivocci, Antonio Ascari, Giulio Masetti et un certain… Enzo Ferrari.
Autre extrait de Omnia (1924)
La RLTF, est équipée d’un moteur 6 cylindres en ligne plutôt simple mais très bien construit et très fiable. Sa cylindrée est comprise, selon les modèles, entre 3 L et 3,6 Litres. La boite est à 4 vitesses et elle se distingue des RL-SS (châssis court) par un allègement et une rabaissement sévères!
Le modèle 3,6 L développe 125 ch à 3 800 tr/min.
(cette photo, trouvée sur le web provient d’une autre auto, l’ALFA ROMEO RLTF 1924 immatriculée XX 5060)
La RLTF 1923 se distingue des suivantes par son radiateur et sa calandre plus petits et son absence de freins à l’avant.
Le modèle présenté ici reçoit une belle calandre en V.
Au Royaume-Uni, le modèle RL était connu sous le nom de 22/90.
Et voici un extrait d’un carnet d’entretien d’une Alfa Roméo RL, VII° série de 1927:
Ce Coupé-chauffeur (ou Coupé de Ville) Wolseley 20 HP de 1911 était exposé à Epoqu’Auto de 2019
La marque automobile Wolseley apparut en 1901 quand les frères Vickers (fabricants d’armes) rachètent le fabriquant de « tondeuses à moutons » du même nom…
Le directeur y était un certain Herbert Austin qui avait déjà démarré le changement de cap en cherchant à créer des automobiles quelques années auparavant.
Quand Austin quitte l’entreprise pour être remplacé par John Davenport Siddeley, le nom devient Wolseley-Siddeley car ce dernier apporte ses nouveaux moteurs avec lui. Après des difficultés financières, il est remplacé en 1909 et son patronyme disparait en 1911?
Avant la Première Guerre, Wolseley est le premier fabricant automobile britannique et jouie d’une belle image de marque avec des modèles de qualité.
Après la morts des frères Vickers (1915 et 1919), l’entreprise fait des investissements hasardeux et la crise provoque sa faillite. Elle est rachetée par Morris qui deviendra BMC après le deuxième guerre (et la fusion avec Austin) puis British Leyland dans les années ’60… olseley disparait dans le années ’80.
Le modèle présenté ici est une Wolseley 20-28 L4 de 1911.
Sa carrosserie « coupé-chauffeur » est en rapport avec son positionnement haut de gamme qui justifie que son heureux propriétaire puisse avoir un chauffeur.
Pour ma part, j’aime bien ses proportions haute et étroite… 🙂
Son moteur est un double bi-cylindres de 4249 cc et produisait une puissance de 25,6 chevaux avec sa double magnéto. Sa boite est à quatre vitesses. Elle a un frein à pied pour la transmission et un levier de frein à main pour les roues arrières.
c’était sur la bourse de Reims en 2019 qu’était proposé à la vente ce début de projet pour un cyclecar Rally…
Evidemment, la calandre semble bien celle d’un cyclecar Rally et le moteur pourrait aussi provenir d’une auto de la même marque (puisque c’est écrit dessus!).
Je pense qu’il s’agit d’un CIME 4 cylindres 1098 cc (Rally n’a jamais fabriqué ses propres moteurs mais utilisait des moteurs disponibles chez les fournisseurs comme CIME, Chapuis-Dornier ou SCAP).
Voilà pour ce projet où tout est à faire puisqu’il qu’il n’y a pas de châssis, pas de trains, pas de pont, pas de caisse, etc… mais avec ce moteur, peut-être que quelqu’un se lancera dans la reconstruction d’un type ABC (et espérons que le calandre ne finisse pas sur une Salmson S4 modifiée pour faire un pseudo Rally NCP!)
c’est toujours lors de la rétrospective de la marque Delage à Epqou’Auto en 2019 qu’était exposée cette D8-120 de 1938 carrossée en Coach Profilé par Marcel Pourtout.
La D8-120 a été construite entre 1936 et 1938.
Comme toutes les Delage depuis le rachat de la marque par son concurrent direct, la D8-120 est un savant mélange de pièces d’origine Delahaye et d’ingénierie Delage.
Son châssis court (empattement 3,35 m) en fait une version sportive de la D8-100 et son moteur 8 cylindres en ligne de 4,302 litres développe 115 cv à 3 900 t/mn et permet une vitesse maxi de 160 km/h. Il est accouplé à une boite semi-automatique Cotal à quatre rapports.
Le moteur 8 cylindres reste une exclusivité de Delage (Delahaye n’en produira jamais).
Evidemment, ces châssis-moteurs son vendus nus, l’heureux acquéreur peut (ou doit) choisir son carrossier préféré pour l’habiller. L’équilibre et le dessin de ces châssis permettait alors les plus belles réalisations et c’est ce qui explique que ces autos gagnaient souvent des prix aux concours d’élégance!
C’est la carrosserie de Marcel Pourtout, sur un dessin de Georges Paulin qui se charge de la robe de cette auto. (Les 2 associés son surtout connus pour leur réalisations sur Peugeot avec les coupé-cabriolets « Eclipse » et les fameuses « Darl’Mat »).
Il exposera ce « Coach Profilé » au Salon de l’Automobile à Paris en 1938.
cette Delage D6-70 de 1937 a été carrossée en cabriolet par Chapron. Elle était exposée à la très belle rétrospective de la marque à Epoqu’Auto 2019.
En 1937, Delage a déjà été repris par Delahaye et bien que le modèle D6-70 soit conçu à partir éléments provenant de cette dernière, elle garde sa propre personnalité. C’est bien une Delage!
En effet, Louis Delâge a gardé son autonomie et son bureau d’étude (et surtout son ingénieur Arthur Michelat ).
Le moteur est issu de celui de la Delahaye 135 ( 6 cylindres en ligne de 3227 cc) mais sa cylindrée est revue à la baisse (2729 cc). Grâce à une course plus courte et une culasse modifiée, il semble plus dynamique… Il développe 68 ch à 4000 tr/min et peut recevoir en option une boîte électromagnétique Cotal.
Aussi, la D6-70 ne reprend pas le châssis de la « 135 » mais celui de sa petite soeur, la 134 (4 cylindres). Il a l’avantage d’être plus léger tout est restant aussi rigide. De plus, sur la Delage, il est préparé pour recevoir des amortisseurs plus moderne « Houdaille ». (à la place des amortisseurs à frictions dépassés) et des freins hydrauliques.
Enfin, la finition haut de gamme qui a fait la réputation de la marque est bien au rendez-vous. Il s’agit bien d’une voiture de luxe sportive.
Les carrosseries sont, bien sûr, sous-traitées aux meilleurs carrossiers et ce cabriolet est l’oeuvre de Chapron. Comme le veut la tradition chez Chapron (surtout avant-guerre), elle est très bien équilibrée et élégante, tout en restant sobre…
Il n’est pas étonnant que ces D6-70 aient été un grand succès à leur époque!
(Je suis désolé de la qualité des photos qui ne sont pas à la hauteur de la voiture…)